C'EST DIFFICILE DE SE DIRE ADIEU, Chroniques Brestoises (1950-1970)
Brest toujours, ou plus exactement Brest la permanence. Brest ne laisse pas indifférent, on aime ou on aime pas. Ou alors pour un individu comme Louis Gildas, c'est plus compliqué. D'abord il décrit une ville du passé, une ville grise et par certains côtés désespérée et joyeuse, une ville cultivant l'oxymore. Des souvenirs d'une ville éborgnée, reconstruite dans un style que ne...
Détails :
Éditeur : | Montagnes Noires Editions | Auteur / artiste(s) : | Louis Gildas |
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Genre | Souvenirs |
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Présentation | Broché |
Nb de pages | 128 |
Dimensions | 14 x 21 cm |
Parution | 2021-10 |
FAITS DIVERS BRESTOIS ET LÉONARDS
FAITS DIVERS EN BRETAGNE - 2e saison des chroniques radiophoniques de France Bleu Breizh Izel
Brest toujours, ou plus exactement Brest la permanence. Brest ne laisse pas indifférent, on aime ou on aime pas. Ou alors pour un individu comme Louis Gildas, c'est plus compliqué. D'abord il décrit une ville du passé, une ville grise et par certains côtés désespérée et joyeuse, une ville cultivant l'oxymore. Des souvenirs d'une ville éborgnée, reconstruite dans un style que ne renieraient les architectes soviétiques de l'ère stalinienne. Aujourd'hui la ville a bougé, elle s'est colorée, s'est souvenue qu'elle était ville maritime. Tout cela n'existait pas en ces années 50 et 70. On s'embarque pour cette ville alors que le boomers, comme on dit aujourd'hui, vivaient leurs jeunes années.