L'ENGOULEVENT DE L'ARRÉE
Un vieillard est retrouvé, battu à mort, dans sa ferme isolée de Saint-Cadou dans les monts d'Arrée, en Bretagne. Un simple mais tragique fait-divers sur fond d'alcool pense le jeune major Kerbidy de la brigade de Sizun en charge de l'enquête, avant qu'un nouvel événement dramatique ne vienne rebattre les cartes.
Détails :
Éditeur : | Skol Vreizh | Auteur / artiste(s) : | Helene Du Gouezou |
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Genre | Roman policier |
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Présentation | Broché |
Nb de pages | 256 |
Dimensions | 15 x 21 cm |
Parution | 2022-03 |
MONDES ARRÉE
Un vieillard est retrouvé, battu à mort, dans sa ferme isolée de Saint-Cadou dans les monts d'Arrée, en Bretagne. Un simple mais tragique fait-divers sur fond d'alcool pense le jeune major Kerbidy de la brigade de Sizun en charge de l'enquête, avant qu'un nouvel événement dramatique ne vienne rebattre les cartes.
Tout converge vers les sombres tourbières du Vénec, chargées d'histoires et d'Histoire, dans lesquelles niche l'engoulevent, un oiseau étrange. En prise avec des contemporains tourmentés et les fantômes du passé, le gendarme mène ses investigations sur ces terres singulières alors que, de son côté, Pierre-Marie, sage et solitaire, tente de démêler cet écheveau complexe et de faire parler l'engoulevent...
Au-delà de l'intrigue policière, le roman brosse par petites touches un portrait sensible des montagnes bretonnes, des habitants si particuliers des monts d'Arrée, des pratiques rurales vivaces qui se réinventent et de la vie quotidienne .
L'auteur :
Hélène du Gouezou cultive la discrétion et s’amuse d’être inclassable : elle est à la fois voyageuse et curieuse, collecteuse et conteuse, dévoreuse de mots et croqueuse de mets, bretonne et citoyenne du monde. Elle vit dans les monts d’Arrée au cœur battant du Finistère. Après « La Trépassée des Monts d’Arrée » - fantaisie criminelle - aux éditions Ouest-France (2019), «L’engoulevent de l’Arrée » - fable criminelle et polar gourmand -, est son deuxième roman.
La presse en parle :
- Un polar sur les monts d’Arrée édité pour « son reflet de la société actuelle » Le Télégramme