Notre site utilise des cookies pour améliorer votre expérience de navigation, conformément à notre politique de confidentialité.

Previous
Next

LES MARIÉS DU DIABLE

En se basant sur les pièces judiciaires, les lettres de la victime, la presse de l’époque, Philippe Le Dref  revient sur ce fait-divers qui marqua l’entre deux-guerres. Michel Henriot était le fils du Procureur de la République de Lorient et le cousin d’une personnalité politique les plus en vue : Philippe Henriot, futur ministre de Pétain.

24,50 €
TTC
En stock, expédition rapide
Référence 419226
Détails :
Éditeur : Groix Editions
Auteur / artiste(s) : Philippe Le Dref   
Genre Témoignage
Présentation Broché
Nb de pages 216
Dimensions 15.5 x 24 cm
Parution 2024-01
EAN13 9782374192260
Également de : Philippe Le Dref

En se basant sur les pièces judiciaires, les lettres de la victime, la presse de l’époque, Philippe Le Dref  revient sur ce fait-divers qui marqua l’entre deux-guerres. Michel Henriot était le fils du Procureur de la République de Lorient et le cousin d’une personnalité politique les plus en vue : Philippe Henriot, futur ministre de Pétain.

« Ce drame est l’un des plus étranges que j’ai connu, et sans aucun doute le plus extraordinaire du siècle. On ne voit de crime de ce genre qu’une ou deux fois tous les cent ans. Le qualificatif que je dois employer pour cette affaire est celui d’effroyable ». Maître Joseph Beineix, avocat de Michel Henriot.

« Cette affaire est certainement la plus délicate que j’ai connue dans ma longue carrière. Pensez donc : un procureur me donne l’ordre de rechercher un assassin. J’exécute cet ordre et, quelques jours après l’avoir reçu, je me trouve dans l’obligation de venir lui annoncer que l’assassin n’est autre que son fils ! » Le commissaire divisionnaire Peyrousère.

« C’est une des affaires criminelles les plus retentissantes du siècle, un drame formidable » Jehan Tholomé, L’Ouest-Éclair.

« Dans cette affaire, il y a deux enfants martyrs, deux mariés de la mort ». L’avocat Joseph Beineix.

« J’avais une joie certaine à voir couler le sang. Il m’arrive souvent de rêver à des supplices. J’aimerais en faire. Car je ne considère pas la vie humaine comme précieuse. Pas plus que la mienne » Michel Henriot.