LES MARINES DE MICHEAU-VERNEZ 1907-1989
Ancien élève de Lucien Simon et de Maurice Denis, Robert Micheau-Vernez (Brest, 1907 - Le Croisic, 1989) est l’auteur de près de 500 tableaux, dont un quart environ est d’inspiration maritime. S’il ne représente pas à proprement parler l’activité des gens de mer, MicheauVernez aime prendre pour sujet les bateaux, les ports, ainsi que les rochers et les plages aux parasols multicolores.
Détails :
Éditeur : | Groix Editions | Auteur / artiste(s) : | Jean Marc Michaud |
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Genre | Beau livre, peinture |
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Présentation | Broché à rabats |
Nb de pages | 182 |
Dimensions | 21 x 29,7 cm |
Parution | 2024-10 |
ALFRED SWIEYKOWSKI 1869-1953 - Post-impressionniste polonais
HENRY D'ESTIENNE 1872-1949
Fils d’un offcier de marine et issu d’une famille où, depuis des générations, tous les hommes étaient marins, Robert Micheau-Vernez (Brest, 1907 - Le Croisic, 1989) a passé près de 56 ans de son existence au contact de la mer, essentiellement en Bretagne et Pays de Loire, sur la Côte d’Azur et en Corse. Longtemps connu seulement pour ses faïences, cet artiste pluridisciplinaire est aujourd’hui apprécié dans toute la diversité de sa production (dessins, illustrations, affiches, sculptures, vitraux, etc.) et, en particulier, en tant que peintre.
Ancien élève de Lucien Simon et de Maurice Denis, il est l’auteur de près de 500 tableaux, dont un quart environ est d’inspiration maritime. S’il ne représente pas à proprement parler l’activité des gens de mer, Micheau Vernez aime prendre pour sujet les bateaux, les ports, ainsi que les rochers et les plages aux parasols multicolores.
« Il est peu d’existence plus discrète, plus secrète dans la simplicité que celle de cet artiste et d’œuvre plus éclatante de couleurs, de soleil et de jeunesse. Sa peinture proclame l’assurance, la force, elle est structurée, affirrmée, fougueuse. Chaque touche capte la lumière avec une qualité de précision technique qui montre la sûreté de la main. Ce sont des pépites de soleil enchâssées par un magistral sertisseur », a écrit en 1978 le célèbre critique André Parinaud.